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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 08:24

 

- Allo ? Marli c’est toi ? Demandai-je bien que je connaisse déjà la réponse.

- Oui. Lucy, viens tout de suite s’il te plait. Cette fois c’est grave, on a besoin de toi. La voix de Marli ne trahissait en rien la tension qui devait être la sienne.

- Ok, j’arrive. C’est qui ? Demandai-je avec une pointe de tension qui, chez moi, était parfaitement audible. Merde.

- Ne t’inquiète pas c’est Marco, mais ce n’est pas pour ça que tu ne dois pas te dépêcher hein! Dit-elle avec un sourire qui s’entendait même à travers le téléphone. Merde et remerde.

 

Je n’avais pas encore fini ma consultation avec un client lorsque j’avais senti le téléphone réservé, vibrer contre ma fesse gauche. Néanmoins je n’avais pas le temps de terminer, Mr Liberstein allait devoir revenir s’il voulait que je lui soigne complètement sa brûlure. Au moins lui avais-je levé la douleur. Ca aiderait à faire passer la pilule, enfin je l’espérais.

 

Après avoir pris congé de mon client, je me changeai en quatrième vitesse, ma tenue de travail de style classique ne convenant pas au genre de consultation que je m’apprêtais à donner, et enfilai un jean troué au genou ainsi qu’un T-shirt noir et de vieilles baskets. C’était une tenue qui ne craignait rien, y compris les tâches de sang du loup-garou blessé que je m’apprêtais à aller soigner.

Je décidai de m’attacher les cheveux en une longue tresse lâche qui m’arrivait en bas du dos. Rien n’est plus agaçant que des cheveux voletant devant les yeux alors que vous essayez d’éviter les coups de patte d’un lycan à l’agonie.

Pour finir, je callais mon 9mm dans le holster en cuir accroché à ma ceinture.

Il était chargé de balles en argent et m’avait sans doute sauvée la vie plus d’une fois. Je n’avais jamais tiré sur une cible vivante avec, mais l’avoir avec moi avait rendu mes menaces particulièrement convaincantes, et croyez-moi, dans le milieu dans lequel j’évolue, il n’y a rien de plus salutaire.

Je n’avais pas l’intention de l’utiliser aujourd’hui, après tout, les autres membres de la meute me protègeraient mais il serait idiot de se rendre dans une maison remplie de prédateurs sans une petite précaution. Après tout, comme on dit, prudence est mère de sureté. Je ne pris pas non plus la peine de dissimuler mon arme, je n’avais que quelques centaines de mètres à faire en voiture et je ne pensais pas qu’un policier viendrait se perdre au fin fond de la campagne. Qui plus est, les loups savaient que j’étais toujours armée donc ils ne prendraient pas ça pour une menace.

Bon j’étais fin prête.

Je montai dans mon 4x4 fatigué et tournai la clef après une petite prière d’usage.

Il démarra dans un nuage de gaz d’échappement presque noir. Oui je sais, le réchauffement de la planète, ça concerne tout le monde, et en l’occurrence je soupçonnais mon 4x4 d’être responsable à hauteur d’au moins cinquante pourcent de la taille du trou de la couche d’ozone. Veuillez accepter mes plus sincères excuses.

 

Ce n’était pas la première fois que j’intervenais pour le compte de la meute locale. En fait, voilà trois ans que j’en étais la guérisseuse attitrée, bien malgré moi d’ailleurs, mais que voulez-vous, ce n’est pas le genre de carrière que l’on choisit, c’est plutôt la carrière qui s’impose à vous comme une évidence. Lorsqu’on a le don de guérir, il est bien difficile de regarder les gens souffrir sans rien faire.

Du coup j’en ai fait mon métier.

Aux yeux des simples mortels, je suis thérapeute manuelle, je peux guérir à peu près tout ce qui se rapporte aux maladies de peaux, les brulures y compris, mais je remets aussi en place les entorses, foulures et même les déboitements.

Mais mon véritable art s’exerce auprès des créatures magiques telles que les loups garous, qui ne seront pas effrayés par l’étendu de mon pouvoir. Je suis alors capable de remettre des os en place et parfois même de les régénérer, je reconstitue les chairs et referme les plaies. De plus, j’annihile la douleur aussi bien, peut-être même mieux, qu’un bon shoot de morphine, néanmoins, dans mon cas la douleur disparaît de manière permanente. Hourra pour moi !

Les détails sont peut-être un peu compliqués mais disons que ce que j’utilise s’apparente à de la magie.

En fait, je n’ai jamais rencontré personne qui possède le même don que moi. Les quelques magnétiseurs que j’ai pu rencontrer étaient tous des charlatans, mais un jour une sorcière m’a dit que j’utilisais une vieille magie depuis longtemps oubliée.

Oui je sais… une sorcière...

 

J’étais encore plongée dans mes réflexions, alors que je m’engageais dans la grande allée pavée qui menait à la maison où se trouvait mon loup-garou blessé.

D’où j’étais, je pouvais voir la bâtisse dans son ensemble. C’était une gigantesque villa de type moderne, toute en béton et en verre, pas vraiment ma tasse de thé, mais je trouvais qu’elle collait parfaitement avec le propriétaire des lieux. Je secouai la tête pour m’empêcher de penser à lui et priai intérieurement pour qu’il ne soit pas présent. Mouais, on pouvait toujours rêver !

Alors que je me garais devant l’entrée principale, je reconnus un peu plus loin, trois voitures rutilantes et flambants neuves de marque allemande et italienne. C’était des voitures de sport, taillées pour la vitesse et qui ne passaient vraiment pas inaperçues. C’était bien les loups garous ça, tout dans la finesse !

Je savais donc qu’ils étaient au moins trois dans la maison, sans compter Marli, dont je n’avais pas vu la coccinelle d’ailleurs.

Quand on parle du loup… Elle apparut sur le seuil au moment où je claquais ma portière, un grand sourire sur les lèvres et les deux mains stratégiquement posées sur les hanches, dans le prolongement de sa cambrure naturelle, qui aurait fait passer la majorité des top-modèles pour des paysannes à peine sorties de leur cambrousse.

Marli est le genre de femmes qui vous fait vous sentir hideuse alors que vous avez passé quatre heures dans la salle de bain à vous pomponner. Elle n’était pas très grande mais sa prestance et sa classe naturelle attiraient le regard automatiquement. Ses cheveux étaient d’un châtain clair qui faisait ressortir ses yeux bleus presque noirs. Elle les avait attachés en une longue queue de cheval haute qui finissait au milieu de son dos, elle avait les cheveux presque aussi longs que les miens mais ils semblaient beaucoup plus soyeux.

En clair c’était une vraie beauté. Mais en dehors de ça, elle était aussi la seule femelle de la meute locale, ce qui aurait pu poser problème si elle n’avait pas été mariée à l’un des males les plus dominants. Qui plus est, elle était ma meilleure amie.

- Lucinda Walker, heureusement que je vous ai dit de vous dépêcher jeune fille ! Dit-elle d’un ton maternel.

- Désolée, j’ai dû mettre un client à la porte avant de venir. Alors, qui s’est battu cette fois-ci ?

- C’est cet abruti de Marco. Il s’est cru assez fort pour défier Van, résultat, Van en a fait de la charpie. C’est pas beau à voir je te préviens.

- Mouais, pour changer en fait. Répondis-je, blasée.

Je pouvais me permettre d’avoir l’air forte à l’extérieur, alors que le corps déchiqueté de Marco n’était pas sous mes yeux, mais je savais qu’il n’en serait pas de même à l’intérieur.

Voilà à quoi je passais mon temps libre. Rafistoler des loups garous ambitieux qui souhaitaient progresser dans la hiérarchie de la meute en s’attaquant aux loups les plus forts. S’ils gagnaient le combat, ils prenaient la place du vaincu dans la meute et prouvaient leur dominance envers les plus faibles. Un jour, Marli m’avait expliquée que la dominance n’était pas qu’une affaire d’instinct, ou un état de fait chez les loups garous mais qu’il fallait prouver sa puissance pour pouvoir prétendre à un rang plus élevé. En effet, le rôle de dominant était accompagné de tout un tas de contraintes, dont la protection des plus soumis que soi. Les combats permettaient de démontrer que le nouveau loup était plus puissant que le précédent et ainsi parfaitement apte à protéger les autres. Mais cette accession à un statut plus puissant comportait aussi le risque d’être à son tour défié par le premier loup-garou un peu trop ambitieux. Et Marco était de ceux-là. Je l’avais déjà soigné une fois alors qu’il s’était attaqué au second de l’alpha et il avait failli y passer. En s’attaquant à Van, qui était quatrième dans la hiérarchie, il avait revu ses exigences à la baisse, mais apparemment ce n’était pas encore assez.

Durant toute ma réflexion silencieuse, nous avions avancé jusqu’à la porte d’entrée et nous nous apprêtions à pénétrer dans le grand salon qui devait représenter la moitié du rez-de-chaussée de la villa. A chaque fois, il me faisait le même effet. Je me blottis dans mes propres bras. Tout n’était que blancheur immaculée, les murs, le sol carrelé, le tapis épais sous la table basse en verre, les canapés, jusqu’au Mac posé sur un petit bureau repeint en blanc lui aussi tout comme le reste des meubles présents qui n’étaient d’ailleurs pas légion dans la gigantesque pièce. En entrant ici, j’avais chaque fois l’impression que la température baissait de dix degrés, le style blanc épuré c’était vraiment pas mon truc, pourtant le décorateur avait, parait-il, été payé une petite fortune. A travers les baies vitrées qui recouvraient tout un mur, la verdure et les rayons du soleil promettaient une chaleur bien plus réconfortante. Je fus tentée de ressortir mais une voix grave aux intonations suaves me stoppa dans mon élan.

- Tu en as mis du temps pour venir Walker. Entendis-je dans mon dos. Et merde !

Je pris le temps de me recomposer une expression indifférente avant de me retourner.

- Bonjour Michael, désolée, j’ai dû mettre un client à la porte pour pouvoir venir. Répondis-je d’une voix posée qui me surprit moi-même. Cela faisait deux mois que je n’avais pas revu Michael, surtout parce que je l’évitais à vrai dire et j’avais espéré que ça pourrait durer encore un peu avant qu’il ne surgisse devant moi comme il l’avait fait à l’instant.

Michael était l’alpha de la meute, il en avait tous les traits et il savait en tirer profit.

Même moi qui n’étais pas louve, je pouvais sentir l’attraction qu’il exerçait. J’y avais réfléchi un jour et j’en étais arrivée à la conclusion que son magnétisme faisait appel à quelque chose de très profondément enfouit depuis des centaines de milliers d’années en nous, les femmes, et qui nous poussait à jeter notre dévolu sur le male le plus puissant de la tribu, ou de la meute en l’occurrence !

Et de la puissance, Michael en avait à revendre. A peine avais-je entendu sa voix que mes poils s’étaient dressés sur mes avant-bras. C’était difficilement explicable mais sa présence avait quelque chose de bestiale qui rendait les femmes toutes choses.

Et encore, s’il n’y avait eu que ça, mais il avait l’air tout droit sorti d’une pub pour sous-vêtements masculins.

Ses longs cheveux noirs retombaient sur ses épaules et brillaient comme les ailes d’un corbeau. Son costume, noir également, sans doute fait sur mesure, lui allait particulièrement bien et la chemise blanche qu’il portait dessous était entrouverte de manière à apercevoir le haut de ses pectoraux parfaitement dessinés. Il devait faire dans les un mètre quatre-vingt et était parfaitement musclé, attention, pas de la gonflette, mais de longs muscles fermes et prometteurs, du moins pour ce que j’avais pu en voir. Ses épaules était carrées et on distinguait ses trapézoïdes remonter jusqu’à son cou. Pourtant, aussi séduisant qu’il soit ce qui attirait le regard par-dessus tout, c’était ses yeux d’un vert éclatant et profond. On aurait dit deux émeraudes qui étaient parfaitement mises en valeur par son teint halé naturel. Ajouté à cela un magnétisme surnaturel et un instinct de domination tellement puissant que l’air en était saturé, et vous aurez l’image exacte de ce que j’avais devant les yeux à ce moment-là : Michael Madison dans toute sa puissance.

- Je ne voulais pas dire aujourd’hui précisément mais en règle générale. Répondit-il avec un demi-sourire. Je savais très bien ce qu’il voulait dire mais je ne devais pas me laisser entrainer dans son jeu.

- Oui, eh bien si on part du principe que je viens pour soigner tes loups, tu devrais être satisfait de me voir le moins possible. Dis-je en passant devant lui pour me diriger vers les escaliers menant à l’étage. Ce n’était pas une très bonne idée de tourner le dos à un loup-garou mais je voulais sortir de cette pièce le plus vite possible. Il tendit le bras et sa main s’abattit sur le mur blanc juste devant mon nez, me bloquant le passage. J’étais beaucoup trop prêt de lui et ça ne me plaisait pas du tout. S’appuyant sur le mur, il se pencha vers mon oreille pour me chuchoter quelque chose.

- Si je ne peux te voir que lorsque tu viens soigner un de mes loups, peut-être devrais-je commencer à les blesser moi-même dans ce cas.

Il était suffisamment proche de mon oreille pour que je sente son haleine chaude me chatouiller le cou et un frisson me parcourut des pieds à la tête. Il dû s’en rendre compte car son demi sourire satisfait refit surface. Merde. Il n’était pas le seul à sourire d’ailleurs. Marli, à quelques mètres de nous, avait tout entendu grâce à l’ouïe très développée qui était la sienne et jubilait complètement. Elle ne cessait de me répéter depuis des années que Michael était formidable et que nous formerions un couple magnifique. Pour sa subtilité, je lui mettais un zéro pointé et elle aurait les avertissements du jury un peu plus tard.

Lorsque j’étais devenue la guérisseuse officielle de la meute trois ans plus tôt, j’avais commencé à subir les assauts répétés et plus ou moins subtils de Michael.

Ne vous méprenez pas, en temps normal j’aurais été ravie de céder à ses avances, mais Michael n’avait rien de normal. Premièrement, c’était un loup-garou et pas des moindres, un chef de meute. Certes ma vie est loin d’être un modèle de banalité, mais croyez-le ou non, je me raccroche désespérément au peu de normalité qui me reste et un petit ami loup-garou ça n’a rien de normal que je sache. Un peu trop d’enthousiasme et il vous broie les côtes. Je ne suis qu’une fragile petite humaine moi ! De plus, sa position hiérarchique dans la meute le rendait particulièrement dominant, et ce à chaque moment de sa vie et qu’il soit avec ses loups ou non. Etre alpha c’est un état d’esprit, un art de vivre si vous préférez. Il n’y a pas de jours de congé, pas de vacances. Il est alpha comme vous êtes homme ou femme, humain, animal ou végétal. C’est profondément ancré en lui et il ne peut pas s’en débarrasser. Du coup, tenez lui tête et vous vous retrouvez, au mieux, à l’hôpital avec de multiples fractures, au pire, six pieds sous terre avec de charmants vers de terre pour vous tenir compagnie. N’ayant pas ma langue dans ma poche, j’avais très vite compris qu’il y aurait incompatibilité de caractère. Sans compter que Michael était connu comme le plus beau parti de la région. Entrepreneur de renom, sa réputation et sa fortune n’était plus à faire. Du coup j’avais vu se succéder tout un tas de Cindy, Mindy, Kitty et autre Brandy à son bras. Michael était un Don Juan qui changeait de petite amie comme de chemise et je me voyais très mal au milieu de toutes ces pétasses peroxydées. D’abord parce que je n’étais pas blonde platine mais rousse, et ensuite parce que j’étais incapable d’imiter le gloussement de la dinde lorsque je voulais rire. Non, vraiment impossible, même pour tout l’or du monde. Mauvaise langue ? Moi ?

En fait je soupçonnais Michael d’essayer de me séduire uniquement par défi, je lui avais résisté dès le début et ça ne lui avait pas plu. Je doute d’ailleurs qu’il entende souvent quelqu’un lui dire non.

Comme je l’ai déjà dit, je ne ressemble pas aux filles qu’il a habituellement à son bras. J’ai de très longs cheveux roux que je ne couperais pour rien au monde. Ne me demandez pas pourquoi, je ne le sais pas moi-même, ou du moins, ma réponse n’aurait sans doute rien de rationnelle. Mes yeux sont verts mais ils ne ressemblent en rien à ceux de Michael. Alors que les siens sont flamboyants, les miens sont plutôt fades, tirant sur le gris les jours de mauvais temps. Je suis petite, un mètre soixante pour cinquante-huit kilos, un petit gabarit donc. Ce qui explique aussi pourquoi la présence de mon flingue me réconforte autant. Je n’ai rien de magnétique ni de sexy. Je ne suis pas laide, mais je ne suis pas d’une beauté transcendante non plus. Ajoutez à cela que j’ai mauvais caractère, l’esprit de contradiction et que j’ai une certaine tendance à l’ouvrir quand il ne faut pas. Du coup, j’avais du mal à concevoir que j’intéressais vraiment Michael. Cependant, la situation dans laquelle je me trouvais actuellement n’avait rien d’anormal. C’était une sorte de jeu entre nous. C’était à celui qui ferait réagir l’autre en premier, celui qui l’énerverait en premier. Et il fallait avouer que Michael avait un don certain pour me faire sortir de mes gonds. Bien-sûr, je me détestais à chaque fois de le laisser gagner la partie aussi facilement.

Je respirai un grand coup pour m’aider à garder mon calme et m’aperçus presque immédiatement que ce n’était pas une très bonne idée, quand une bouffée de son eau de Cologne, mêlée à son parfum naturel, envahit mes narines. Je me ressaisis tant bien que mal et levai la tête pour le regarder dans les yeux. Comme lui s’était penché, nos lèvres se touchaient presque. Ce n’était pas la plus brillante des idées de regarder un loup-garou dans les yeux, à moins de vouloir lui lancer un défi et d’être suffisamment fort pour le relever soi-même, mais pour l’instant je ne voyais pas comment lui montrer autrement, l’indifférence, feinte bien-sûr, que ses propos produisaient sur moi. C’est avec tout le détachement dont j’étais capable que je lui répondis.

- A ta guise, après tout ce sont tes loups, pas les miens. Fais ce que tu veux, ça ne me regarde pas.

Je profitai de l’effet qu’avait ma réponse sur lui pour passer sous son bras et détaler dans les escaliers sans demander mon reste.

- Pourtant, si tu le voulais bien… L’entendis-je ajouter d’une voix triste, dans mon dos, alors que je me dirigeais déjà vers la chambre où se trouvait probablement le blessé.

Je ne relevai pas.

 

Suite>>

 

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commentaires

A
bonjour <br /> alors je viens de découvrir votre histoire sur booknode et dès le 1er chapitre je peux dire que je suis accro...une seule question....pour quoi ne pas avoir publier en eBook??si ça ce fais j achète de suite..bon je continu ma lecture et vous continuez comme a vous êtes vraiment très douée votre plume est très addictive.. comme vous l'aurez compris j'aime beaucoup
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C
Oooh ! Merci, c'est vraiment vraiment adorable ! J'espère que la suite vous plaira tout autant. à vrai dire c'est une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment. Mais j'aimerais faire les choses bien. Vous constaterez au cours de la lecture que des petites fautes d'orthographe et d'inattention se sont glissés par-ci par-là. Je les corrige petit à petit mais c'est un travail laborieux, je l'avoue. Et puis je vais sans doute lancer un petit sondage parmi mes lecteurs pour savoir quel prix serait acceptable pour eux, dans le cas où ils découvrirait les Chroniques de Lucinda Walker pour la première fois. En tout cas, merci infiniment, c'est un incroyable encouragement pour moi !
L
Salut j'écris une fiction et j'aimerais me faire connaitre c'est Loup-garou, romance
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P
Coucou :) Je viens de lire ton premier chapitre et j'aime bien ^^ Tu as de l'imagination et c'est génial. Ton personnage principal a du caractère, j'adore ça !<br /> <br /> Juste, il faudrait peut-être revoir un peu la dynamique des conjugaisons dans ton texte... à la relecture, ça serait vite fait ;)
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L
nos loups adoraient ont leur propre blog ils ont de la chance<br /> mais oublie pas de nous poster la suite sur le fofo quand meme.<br /> bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus
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C
<br /> <br /> ne t'en fait pas ma lele le fofo aura toujours la primeur^^<br /> <br /> <br /> miciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii^^<br /> <br /> <br /> <br />
L
Camille c'est super génial que tu te sois lancée !!!! Je suis sûre que tu vas vite atteindre une renommée internationale ;)<br /> Sinon continue à écrire la suite hein, parce que c'est vraiment une histoire captivante, bien ficelée (qui es-tu grand Méchant ?) , hilarante quand il le faut, romantique à souhait et tout<br /> simplement addictive !!<br /> Bonne chance ma Camille !!!
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C
<br /> <br /> loool une renomée internationale!! rien que ça! mais merci, c'est adorable, j'espere continuer à vous captiver encore longtemps!!!<br /> <br /> <br /> <br />